Communication touristique de la Corse
Mi chjamu Corsica
Le plus beau des écrins
La communication touristique de la Corse est confiée à Bande à part et Sunmade. L’Agence du Tourisme de la Corse a choisi notre groupement en 2021 afin de monter en gamme dans sa communication touristique.
En 2022, le premier chantier s’attaque à l’identité visuelle de l’île afin de la rendre plus emblématique et plus qualitative. Mission accomplie.
Deux campagnes sont ensuite lancées simultanément. La première repose sur l’idée de l’abri, de la destination à part, du refuge qui fait du bien avec le claim : “Votre été mérite le plus beau des écrins” ; la seconde parle de la qualité de l’accueil Corse et des mesures sanitaires prises après la crise Covid : “Votre été mérite le meilleur des accueils”. Des vrai(e)s professionnel(le)s de l’hospitalité corse passent devant l’objectif de l’agence en situation d’accueil.
Mi chjamu Corsica
2023. Face à l’affluence record que connait la Corse en 2022, l’ATC s’oriente vers une stratégie de désaisonnalisation et de répartition de la fréquentation dans l’espace.
Le résultat passe par une campagne qui affirme : “Mi chjamu Corsica” – Je suis la Corse – “Mille voyages à vivre toute l’année”.
La stratégie marketing se déploie au rythme d’un mois/une filière.
Cela nous permet de présenter tout ce que l’on peut vivre de plus fort en Corse, de coller aux évènements phares de l’île et d’être présent toute l’année ou presque dans les médias. Pour cette campagne, nos deux agences organisent un tournage sur l’île de beauté.
Toute l’année mais pas en été… www.visit-corsica.com
L’île de tous les ailleurs
2024. Pour mieux faire valoir et mieux faire voir ses différences, la campagne 2024 souligne que la Corse est un monde en miniature. Tout dans un mouchoir de poche. On peut passer de la haute montagne le matin à une crique de rêve l’après-midi. Très peu de destinations dans le monde offrent autant d’ailleurs à portée de mains.
L’agence a fait de la communication touristique son cœur de métier. Une expérience qu’elle a pu développer, entre autres, sur les pentes des volcans d’Auvergne
